jeudi 27 octobre 2011

James Blake - Limit To Your Love [Clip]

Petite session retro avec le désormais classique Limit To Your Love de James Blake. Espoir de la nouvelle scène Nu Soul, dans la lignée d'un Gil Scott Heron. Son univers entre spleen et sensualité ne laissera personne indifférent.

mardi 25 octobre 2011

The Roots - Make My [Brand New]


Acoustique Clean and Chill le 1er extrait du prochain album de The Roots est enfin là. Attendu pour le 6 décembre prochain. Undun a de grande chance pour etre un album conceptuel à déguster sans modération.

Lil Wayne - Tha Carter IV [Chronique]

CrazySongz n'est pas le genre de blog faussement hype qui vous fera perdre votre temps. Ainsi, en cliquant sur cette page. Toi lecteur, souhaite savoir si le dernier bébé du prolifique Lil Wayne, est une tuerie ou non. Sans plus attendre, tuons le suspens une bonne fois et allons droit au but. Oui, The Carter IV est un album fortement dispensable.

Que dites vous ? Vous voulez savoir pourquoi ? Et bien soit, la lecture de cette chronique vous en dira plus sur ce feeling.

Avant d'enfiler ma tenue de catcheur et de commencer les hostilités. Rendons à césar ce qui est à césar. Lil Wayne est le rappeur le plus actif de ces 5 dernières années. Featurings, Clips, Caméo, Tabloïd. Difficile d'échapper à ce véritable bosseur tatoué qui arrive même à être présent tout étant incarcérer.

En effet, avant de parler concrètement du dernier projet en date de l'autoproclamé "Best Rapper Alive"; il faut savoir que ce dernier fut condamné en 2010 à 8 mois de prison pour port d'arme illégal. Conscient que le Rap Game allait rapidement se trouver une nouvelle coqueluche s'il ne se bougeait pas les dreads, Wayne a balancer une flopée de sons depuis sa cellule de Rykers Island et surtout l'EP I Am Not Human Being qui auréolait un vrai retour aux sources après le fiasco pseudo Rock que fut Rebirth.

Entre-temps, tandis que Wayne rongeait son frein en taule. Tout les soldats du label Young Money Records: Drake, Minaj, Cory Gunz, DJ Khaled, se sont lancer à tour de rôle dans une campagne teasing pour annoncer la sortie imminente de leur Boss. Ainsi, la fameuse campagne "Free Weezy" enfin à terme; ce qui devait logiquement arriver arriva. Novembre 2010, le rappeur le plus en vogue était enfin de retour dans un Rap Game qu'il n'avait jamais vraiment quitter au fond. Les joies de la communications 2.0.

Hyperactif et omniprésent (non je ne parle pas du Président de la République),  Dwayne Michael Carter Jr de son véritable nom, se devait de marquer le coup avec The Carter IV. Pour cela, il prit une première résolution qui a sans doute fait plaisir aux fans de la première: l'abandon total de l'autotune. Seconde initiative, l'appel à des producteurs totalement inconnues. Une initiative qui devrait apporter un peu de fraîcheur à l'album.

Tout commence assez bien avec une intro rageuse et punchy signé Willy Will où Wayne se livre à une surenchère de piques contre ses éventuels détracteurs, Une fois dans le bain avec les très bon "Blunt Blowin" et "Megaman" le banger "6 Foot 7 Foot" produit par Monsieur Bangladesh, l'auditeur est en confiance pour la suiteEt là c'est le drame. Sans transition, aucune. The Carter IV sombre au fil des tracks dans un enchaînement de featurings aux productions sans saveurs, le trop long "Nightmares of The Bottom" produit par Snizzy où le "She Will" en duo avec Drake sont les exemples les plus probants.

Outre les productions hasardeuses confiées à des rookies. C'est cette désagréable sensation de dériver vers un son aseptisé pop qui gâche vraiment TCIV. Mention spéciale a "So Special" "How To Hate" en feat avec T-Pain ou encore l'inaudible "How To Love" où Carter s'essaie à la chanson. Par pitié laissons le chant à ceux qui savent chanter ! A croire que le mec a pris des cours de chant dans les douches de Rykers... Bref, en marge de ce marasme auditif, notons la tentative de sauver les meubles avec la soit disant pseudo diss track contre Jay-Z "It's Good". Les journalistes en ont fait tout un foin, mais à l'écoute du morceau ont comprend pourquoi Jigga ne prend même plus la peine de prêter un semblant d'attention aux gosses dans la cour de récrée. L'honneur sera tout de même sauver par les guests venu en renfort pour l'Outro: Nas, Bun B, Shyne et Busta Rhymes livrant une prestation qui outshine derechef notre Swaggman.

En somme, pour en finir avec cette chronique. Nous retiendrons qu'avec ce Carter IV, Weezy est le 1er Mc à réaliser une quadrilogie. L'album est aussi le premier où l'artiste offrent à de nouveaux producteurs une chance de briller. Cependant, le problème avec cette manœuvre c'est que les prods n'arrivent pas à faire ressortir tout le talent de Wayne, et surtout que ce méli-mélo nui fortement à la cohérence de l'ensemble.

Résultat après un séjour en Prison, celui que les médias désigne comme le nouveau 2Pac (s'étouffe) n'a pas réaliser un retour marquant. L'album étant d'une qualité trop inégale et impersonnel pour qu'on s'en souvienne dans les années à venir. Mais que les fans se rassurent, Weezy fait du Weezy et personne n'est actuellement en mesure d'aller lui prendre son titre de meilleur vendeur du Game. Néanmoins, c'est arrivé au top qu'un grand prouve qu'il mérite son statut en enchaînant les albums les plus aboutit possible. Paradoxalement le plus gros vendeur na aucun classique depuis The Carter 2 (2005). Une question se pose alors : La chute est elle pour bientôt ?

jeudi 6 octobre 2011

"Word I Say" Nouveau titre de Justin Timberlake [Brand New]


Justin Timberlake est de retour avec un nouveau titre "Word I Say". Le chanteur ayant depuis quelques années embrasser une carrière d'acteur à succès nous offre une excellente déclaration d'amour qui ne lassera personne de marbre. Croisons les doigts pour un nouvel album. Listen.

The Game - The Red Album [Chronique]

"Arnaque le Rouge"

Sous ce subtil jeu de mot faisant référence au fameux pirate et voleur Rackham le Rouge se cache le sentiment qui s'impose naturellement après écoute du nouvel album de The Game. Mais pourquoi parlons nous d'arnaque pour ce R.E.D Album ? Sans plus attendre, installe toi confortablement  cher lecteur, chips et coca dans tes mains.

Avant d'aborder ce qui fâche sur le 4ème album de celui qu'il  faut désormais nommer Game (pourquoi se débarrasser du "The" ?), intéressons nous à la genèse particulière de l'album. 

The R.E.D Album est dans son concept un projet souhaitant faire honneur à Compton, fief de l'artiste et qui bien entendu fait référence au Gang des Bloods (la couleur rouge les caractérisant). Une première démarche peu originale et qui se révèle assez bancale à l'écoute de l'album. Si l'ensemble se révèle bancal et à la fois paradoxal à l'image de l'artiste, qui comme à son habitude, a multiplié les passages de labels en labels tout en  tentant vainement de lancer des singles dans les charts. Ont peut donc considérer que ce quatrième projet à réellement pris forme avec le retour inattendu de Game sur son ancien label Aftermath en 2010.

De retour à la "maison", Game décide de s'entourer de poids lourd pour son album. Ainsi pour superviser le tout Dre Dre et le Nerd Pharell Williams sont donc annoncés en grande pompe. The Game dans sa communication toujours aussi too much, ira même jusqu'à se tatouer le logo du label de Pharell "Star Trak" sur son bras. Après un geste si pittoresque, ont pouvait s'imaginer que la participation du Neptune serait conséquente pour le coup, il n'en est rien. Pharell ne produira qu'un très fade "Mama Says" en feat avec Nelly Furtado. Cher payé le tatoo...

A la rigueur si l'absence de Pharell sur l'album n'a rien de regrettable (c'est un album à la gloire de Compton non ?), c'est encore une fois Dr Dre qui se fait rare sur l'album de son poulain revenu au bercail. Au menu, aucune prod; 4 skits minables et un pauvre couplet sur l'excellent banger "Drug Test" produit par DJ Khalil et Snoop en soutien. Une question pourquoi être revenu chez Aftermath sans le soutien prononcé du docteur ? Mystère.

Quoi qu'il en soit, continuons sur notre lancée des bons points de l'album (ils sont si rares). Tout bon amateur de Hip Hop aura retenu sur son MP4 le très Eastcoast "Born In The Trap" produit par la légende DJ Premier, s'ajoute le single "Red Nation" en feat avec Lil Wayne, l'ambiance funky crade de "Martians & Gobelins" en feat avec Tyler The Creator ou encore "Speaker On Blast" avec Big Boi et E-40 en feat.

Puisque nous y sommes parlons du problème récurrent de Game depuis LAX: le featuring. Vous conviendrez que le fait d'avoir trop d'invités nui à l'authenticité d'un album se voulant à l'origine être un hommage à une ville et un mode de vie. Si musicalement ont peut toujours trouver son compte, la cohérence de l'ensemble en prend un coup. Pire encore, à force de multiplié les invités il arrive même qu'un rookie (ici Kendrick Lamar) vous humilie en un couplet, sur votre propre morceau "The City". En outre, pire qu'une multiplication des duos, le choix des guest semble ma foi assez douteux et dispensable pour un opus se voulant aux couleurs des Bloods: Drake, Young Jeezy, Rick Ross, Lloyd, Nelly Furtado... Tant d'artistes n'apportant aucune valeur ajoutée au projet. Du gâchis en somme, Game étant un des plus doués de sa génération.

En définitive, The Red Album est il un bon album ? Ma réponse sera difficilement positive, tant Game a un mal fou à donner une ligne artistique claire à ses albums. Featuring à outrance, concept passé à la trappe et Hits de qualités bien trop rare. Jayceon Terrell Taylor à trop souvent le cul entre deux chaises pour redevenir la machine à classique qu'il prétendait être en 2005. Un album rendant hommage à Compton ? Wait for it : Arnaque !

Pub PlayStation 3 - Long Live Play for Michael [Geekerie]



Si Sony a un peu perdu de sa superbe, il faut reconnaître que la firme nippone a toujours eu du mordant pour nous pondre des publicités innovantes et rafraîchissantes. Celle que je vous présente aujourd'hui suscite déjà le buzz après avoir fait l'objet d'un teasing plutot intrigant. Au niveau du contenu de la réclame, celle ci met en scène la plupart des héros du jeux vidéo, de Solid Snake à Kratos ou encore Cole McMagrath et Nathan Drake. Tout ce beau monde s'étant réuni pour rendre un hommage sympa aux joueurs. Voyez plutôt.

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